jeudi 27 novembre 2008

Cuisine - Jour 18

Le 18e jour, l'entrepreneur se reposa. Il faut dire que la pièce était prête à recevoir les meubles et les électros.

Par contre, le réfrigérateur a été livré ce matin. J'étais tellement endormi que j'ai oublié de leur rappeler de reprendre mon vieux frigo.

J'ai pu échanger mon luminaire défectueux pour un autre.

Le dosseret de céramique (backsplash) est aussi acheté. Mes achats proprements dit sont terminés. C'est faux, puisqu'il me faut maintenant des tabourets et des cossins du genre. Peut-être ajouterons-nous deux spots, car il y a présentement une zone d'ombre entre l'évier et la plaque de cuisson. À moins que les lumières comprises dans la hotte et la troisième lampe suspendue viennent raplomber le tout.

Cuisine - Jour 17

Journée haute en couleur.

D'entrée de jeu, le contracteur annonce qu'il entend terminer son travail aujourd'hui. Il reviendra les jours de l'installation ainsi que la semaine prochaine pour finaliser, mais le chantier sera clos ce soir, dit-il. La suite lui donnera raison.

Au menu de leur côté: fermeture des murs, peintures des murs de la cuisine et du mur de la salle à manger, finition des plinthes de céramiques le long des murs, installation de la laveuse / sécheuse (j'ai droit au traitement royal, il ne me laisse même pas connecter ma propre laveuse...)

Par ailleurs, c'est le jour de la livraison des électroménagers ET des armoires de la cuisine.

La première neige tombe sur Montréal. [Les rues sont glissantes, y a un accident au coin de Saint-Hubert et Jean-Talon... (solo de flûte).]

Les rues sont glissantes et mes escaliers aussi. J'ai beau avoir pelleté (ou peut-être à cause de cela), les marches ne sont pas des plus coopérantes pour les livreurs d'électroménagers.

Ceux-ci commencent leur tournée mon four double, un combo micro-ondes + convection et gros four capable de cuire un veau entier... Pour montrer la puissance de leur bras, ils décident de le sortir de sa boite en bas (pas une mauvaise idée en soi) et de le monter avec une strap (bonne idée aussi) et leurs mains nues (ça s'est moins réussi!) Résultat: dans le tournant de l'escalier, le four tout métal nu qu'il est est vite mouillé et glissant... et glisse par terre dans les marches dans un bruit plutôt inquiétant pour moi.

Je sors dehors pour voir le four sur le camp et deux gars qui le reprennent du mieux qu'ils peuvent. Ils finissent par le remonter de peine et de misère. L'un des deux gars a visiblement une légère scratch à la main.

Une fois l'appareil à bon port, on voit l'étendue des dégâts. Pas sur l'appareil, c'est le fond qui a encaissé et je ne saurai ça que lorsque je le poserai dans le module à cet effet, mais sur le livreur qui s'est ouvert méthodiquement et dans l'ordre la base de: l'index, du majeur, de l'annulaire et de l'auriculaire. Le sang pisse à grosse goutte. Mon four est baptisé.

Ils tentent de monter la hotte. Ça passe. Ensuite, on parlemente au téléphone sans m'inclure dans la discussion.

J'oubliais, pendant ce temps, il y a un autre camion qui attend derrière eux, car entre-temps, les armoires de cuisine sont arrivées, elles aussi.

Le livreur encore en forme me monte la plaque de cuisson au gaz et m'annonce que je vais devoir attendre au lendemain pour le frigo. Les livreurs d'armoire se proposent pour monter la bête, mais le livreur d'électros s'opposent. (Ce n'est pas bête. Moyennant un accident qui aurait été responsable?)

Je regarde mon frigo s'éloigner dans la boite du camion d'un oeil pendant que je regarde mes meubles de cuisine commencer à entrer dans l'appart de l'autre. Que de boîtes. Trente-trois. Un hommage inconscient à Patrick Roy? Va savoir.

Panneaux de mélamine, panneaux d'aggloméré, boites gigantesques, comptoir de cuisine, etc. Je n'ai plus de cuisine, plus de salle à manger, bientôt plus de salon. Au secours!



(Je poursuis plus tard. Là, je suis trop crevé)

mardi 25 novembre 2008

Cuisine - Jour 16



Plus de peinture de fait. Le blanc-jaune de la cuisine, le plafond mat et une couche de rouge dans la salle à manger... La finition avance. Les spots sont bels et bien encastrés. Les luminaires sont presque en place. La boîte oiuverte était bel et bien brisée... Bref... on va devoir aller négocier un retour.

Le gaz se rend à l'ilot.

Les meubles et les électros arrivent demain après-midi.



Non, cette fois-ci, ce n'est pas un serpent exotique, mais le tuyau de gaz qui est bel et bien connecté sur le «main», comme on dit dans le jargon.

samedi 22 novembre 2008

Cuisine - Jour 15

WOW!!!

Superbe surprise en rentrant du travail (j'arrive presque... pas tout à fait, mais ce post est presque live...)

Les tuiles sont posées, le sablage est fini, les bordures sont posées. La plinthe est en fonction. LE FLAT EST FAIT!

Première perception en entrant: «Ça sent la peinture!» Effectivement, c'est peint!!!

La preuve:



Tant qu'à montrer cette prise de vue, allons à l'opposé:



Plus de plastique. Une pièce bien dégagée! Re-Wow!

Je me suis inquiété pour rien.

Il manque toujours une pièce pour raccorder le tuyau de gaz, mais c'est le seul pépin réel de l'ensemble. I'll drink to that!

Cuisine - Jour 14

Je suis au summum du découragement (et de l'étouffement par le plâtre).

Je me demande bien quand on pourra peinturer. Si le morceau manquant va arriver à temps. Etc.

(C'est phoney parce que j'écris cela après le jour 15...)

Une photo:

mercredi 19 novembre 2008

Cuisine - Jour 13

Ça y est! Je crois que j'ai atteint le plateau du découragement.

Les travaux ont avancé encore aujourd'hui. Les céramiques sont posées. Sans doutes nivelées, mais le coulis n'est pas... coulé?

On attend que le plombier reçoive un morceau pour faire la connexion de mon tuyau de gaz pour l'ilot.

Si l'on fait le coulis demain, je suppose que l'on devra limiter les déplacements sur les tuiles.

Les électros et les meubles arrivent mardi prochain. Il reste donc trois jours ouvrable avant le jour fatidique et cinq jours avant le début de la pose des armoires.

Je commence à être inquiet. Pourrons-nous faire ce qui reste dans les délais?

Je trouve l'entrepreneur ULTRA-sympathique, mais il commence à arriver près de midi pas mal tous les jours. Dans la mesure où le travail semblait fait, ça m'allait... mais a-t-on maximiser les journées de travail?

Je paie pour l'ensemble, pas à la journée, mais néanmoins il y a un échéancier que l'on m'a garantit que l'on allait suivre. Je commence à douter.

Le plancher recouvert de tuiles de céramique (sans le coulis):

Cuisine - Jour 12



Let's call it a plancher.

Ou du moins, le début de la finition du plancher. Manque une portion et du coulis... peut-être aussi qu'il manque une ou deux poches de ciment.

Il y a des dénivellations dans le plywood. Paraît que c'est une partie de plaisir pour s'assurer que les tuiles soient de niveau.

mardi 18 novembre 2008

Cuisine - Jour 11



Une seule photo aujourd'hui pour illustrer l'ampleur du travail fait. J'ai cru que l'on ne parviendrait pas à le saisir d'un coup d'oeil, mais non. Je crois qu'on peut voir. Seule photo aussi parce que je ne peux pas marcher sur le plancher qui a déjà durci, mais on doit le ménager.

D'abord, on a terminé l'arrachage de tuiles. Vous le savez déjà si vous avez lu le message précédent.

Ensuite, ils ont procédé à du plâtrage, suivi du sablage. Une job de cochon, comme on dit. Il n'y a rien à faire contre la poussière de plâtre, si ce n'est d'avoir fait le vide au préalable dans tout l'appartement, ce que nous n'avons pas fait.

Deux portes fermées plus loin, deux pièces et un couloir plus loin, il y a une couche de poussière visible sur le bureau de mon ordinateur, sur ma seule guitare qui n'est pas dans son étui et probablement dans mon ordinateur aussi.

Je vous fais gré de tout le reste de l'appartement et de nos poumons. C'est pas joyeux. La télé est recouverte d'un manteau blanc. Les plantes aussi. Ma fille? Sans doute. Nous sommes des parents indignes à notre manière.

Ensuite, on a étendu un ciment spécial sur le plancher pour recouvrir la vieille colle des tuiles qui nuisait plus que d'autres choses. Le produit nivelle ainsi le plancher et prépare l'installation des tuiles de céramique. Cela sera fait sans doute demain.

Pour revenir à la poussière de plâtre, celle-ci reste en suspension plusieurs jours, voire semaines. Pour bien illustrer le phénomène, remarquez les zones foncées sur le ciment du plancher. C'est la couleur «normale» du produit. Tout ce qui est plus pale, c'est que de la poussière de plâtre s'est déposée à cet endroit.

C'est partout pareil dans la maison, en un peu moins pire.

C'est une calamité en son genre!

lundi 17 novembre 2008

Cuisine - Jour 9 et 10

Je vais tenter de résumer les deux journées de travaux rapidement.

Comme tel, tout progresse comme c'est censé. Il n'y a pas rien à signaler, si ce n'est que le plombier n'a toujours pas mis la main sur l'adapteur qui permettra la connexion entre le tuyau de cuivre existant et le tuyau flexible qui passe sous le plancher vers l'ilot.

Jeudi et vendredi ont passé en plâtrage et en bouchage de trou.

On a également installé les luminaires encastrés, les «spots». Déjà, ils sont fonctionnels et le plafonnier est retiré.

Vendredi, on a également commencé à enlever les tuiles au planchers en vue d'installer la céramique. Ce sera terminé lundi. (Au moment d'écrire ces lignes, en fait, les tuiles sont toutes arrachées... mais terminons jeudi et vendredi.)

Voici une photo de l'allure des travaux, prise jeudi soir:



Tout est pas mal terminé du côté de la laveuse et de la sécheuse. va falloir sabler, mais l'essentiel est là. Ça sera pas mal plus propre.

Tranche de vie
Avis aux parents... Vous ne savez jamais quand votre enfant sera malade. Et bien, évitez néanmoins que ce soit durant une journée où l'une pièce importante de votre maison (cuisine ou salle de bains) est en rénovation. C'est une très mauvaise idée, surtout si votre «complexe de lavage» est touché par les travaux.

Réveillé à 2h30 dans la nuit de jeudi à vendredi par notre fille de 2 ans et demi (aussi bien dire que je n'étais pas encore endormi), nous avons passé une nuit blanche à nous occuper de ses troubles digestifs, pour dire peu.

Nous étions salement amochés lorsque l'entrepreneur est arrivé le matin. J'avais trois brassées de drap, toutous et autres pyjamas à m'occuper ainsi qu'un xième coup de moppe à donner, parce que... me semble que c'est encore malpropre...

Une enfant de 2 ans et demi à proximité d'une cuisine en rénovation avec les ouvriers à l'oeuvre est aussi quelque chose à éviter. Malheureusement, mademoiselle étant malade, faut vivre avec...

Cela dit, de toutes évidences, j'ai été le plus incommodé de la journée. Pendant qu'on arrachait les tuiles du plancher en menant un vacarme d'enfer (et je pèse mes mots), ma fille et ma blonde dormaient à poings fermés dans mon lit. Comme quoi, on s'en fait parfois pour rien.

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Je pourrais faire des entrées de blogue aussi pour chaque visite que je fais à a buanderie. Je vais me contenter pour l'instant de rappeler qu'il n'est pas bon pour son standing personnel d'aller laver les draps souillés de votre fille à la buanderie du coin. Surtout lorsque vous n'avez pas pris la peine de les rincer sommairement avant.

Surtout si vos brassées comporte aussi une brassée de toutous... Des toutous, ça se lave TRÈS mal et c'est macabre dans une laveuse frontale de buanderie.

Si ce n'était que ça, ce serait juste rigolo, mais des toutous ça réagit bizarrement avec l'eau ET le savon. J'ai pas compris si cela avait bu toute l'eau ou inversement, mais la brassée a explosé en créant un HÉNAURME débordement de mousse.

Je suis retourné dimanche pour laver mon linge et j'étais surpris de ne plus voir de mousse sur le plancher.

Pour vous donner une idée, la mousse a passé par les conduits pour se rendre deux cuves plus loin... Comment avoir honte en une leçon facile.

Ceci expliquant cela, vous comprendrez que j'ai pris ça mollo côté blogue avant aujourd'hui.

Je ne ferme pas la place. Pas encore à tout le moins.

Place aux photos du vendredi (deux pour vous gâter):

Les encastrés sont fonctionnels!



Les tuiles sont arrachées. Splendide colle dégueulasse en dessous!

jeudi 13 novembre 2008

Cuisine - Jour 8

Mon silence est un peu révélateur. Les travaux avancent normalement. Rien à redire comme tel.

Je suis tanné des travaux par contre. C'est un peu pour ça que je n'en parle pas non plus. Je prends ça relax, disons.

J'ajoute une photo plus tard.

mardi 11 novembre 2008

Cuisine - Jour 7

La journée a commencé tôt avec l'arrivée du plombier vers 7h15. Nous avons avancé dans ce domaine, presque terminé en ce qui concerne la plomberie. Une note positive.

J'ai passé un bon bout de temps à me sentir nostalgique en le regardant travailler. J'ai passé mon enfance à voir mon père souder des tuyaux de cuivre (on avait d'autres loisirs tout de même...). Le plombier, plus jeune que moi, a une technique de soudure que n'aurait pas renié mon père. Je ne l'ai pas vu échapper une goutte de plomb par terre malgré qu'il travaillait sans filet. Souvenirs, souvenirs...

L'odeur de la colle ABS reste aussi marquée dans la mémoire. J'ai pu m'en apercevoir. Difficile de ne pas associer cette odeur au paternel. En somme, un peu de nostalgie qui n'a pas été désagréable.

Lorsque l'entrepreneur est arrivé avec son assistant, nous avons parlé de choses et d'autres. C'est plus tard dans la journée que l'évidence m'a frappé en plein visage. Son assistant connaît ses classiques, contrairement à moi.

Me remerciant de leur apporter de l'eau, il a fait un parallèle avec La mort du loup, un poème d'Alfred de Vigny avant de m'en réciter un large extrait de mémoire. J'ai dû me rendre sur wikipedia tantôt pour en savoir plus sur l'auteur et son oeuvre. Il ne m'a pas donné l'impression de ne connaître que cet auteur d'ailleurs.

Ne sous-estimez jamais les ouvriers, voilà mon conseil du jour.

Par ailleurs, tous ces jolis trous sont replâtrés et le mur du fond se pare de panneaux de gypse neufs.

J'ai choisi de mettre une photo qui ne reprend pas l'un des points de vue habituels.



La tuyauterie pour la laveuse n'attend qu'à être ré-encastrée.

Cuisine - Jour 6

Rappelez-moi de vous dire au jour 7 comment j'ai vraiment hâte que tout ça soit derrière moi...

Un plombier qui débarque chez soi à 7h30 du matin, qui coupe l'eau, qui met en place plein de choses qui seront chouettes lorsque ce sera fait, oui bon d'accord. En théorie, c'est excellent, mais en pratique, lorsque l'on a terminé le travail à 1h du matin et que l'on s'est couché beaucoup plus tard que ça, ça magane son homme. Fin de la parenthère et tranche de vie liée au jour 7 (et non 6).

Pour ce qui est du jour 6 en question, lundi 10 novembre, ça s'est bien passé. Le plombier et l'entrepreneur étaient là. Ils ont avancé les choses rondement. L'emplacement de l'éclairage, la hotte, la tuyauterie pour la laveuse, la sortie de l'évier tout ça est bien en place.

Il restera à finaliser les connexions pour le gaz. Il manque un morceau pour faire la jonction avec l'ancien tuyau et le nouveau.

Il va falloir que je me renseigne sur le plancher. Je suppose que l'on va commencer à «plancher» là-dessus bientôt (C'est beau Méo, yé 3h, on ferme...).



Le neuf cotoie l'ancien. Le plafonnier va bientôt céder sa place aux nouveaux «spots».

samedi 8 novembre 2008

Cuisine - Jour 5

La phase construction a commencé. Après avoir tout enlevé, l'entrepreneur travaille à mettre les choses en place.

Il reste encore beaucoup de choses à enlever: tuiles au plancher, plâtre sur le mur donnant sur la salle à manger et vieilles tuyauteries, mais dans l'ensemble, c'est la phase reconstruction qui débute.

Lundi, le plombier vient pour refaire la plomberie. Ça ne sera pas de la tarte: Connexions pour la laveuse, refonte du drain de l'évier avec l'ajout d'un évent. Le drain de la laveuse passera en partie dans le mur, derrière les électros et en partie sous le plancher sous le comptoir de l'évier.

Installation d'un tuyau pour alimenter le frigo.

Faire passer le tuyau du gaz sous le plancher pour rejoindre l'îlot.

Les travaux du jour ne sont pas spectaculaires comme l'ont été les premières journées, mais ils ont leur importance: La planification de toutes les prises électriques. Ici, le 220 qui alimentera le four combiné four et micro-ondes.



Là, c'est le trou fait dans le plancher pour permettre le passage du gaz à l'îlot. On remarque sur la photo les mesures concernant l'espace qui sera occupé, grosso modo, par la plaque de cuisson.



On remarque surtout l'épaisseur du plancher. Entre six ou sept feuilles de plywood. On aurait ajouté une feuille chaque fois que l'on a rénové la cuisine. L'entrepreneur trouve que c'est exagéré. Je comprends mieux maintenant pourquoi a) il y a une marche en entrant dans la cuisine b) la distance entre le plafond et le plancher de la cuisine est un chiffre bâtard (8 pieds et 1 quart, genre)

D'ailleurs, c'est une réno "propre" qui se fait. On enlève les trucs irritants qui traînassent depuis qu'ils sont là et on repart à zéro à bien des endroits. On a gagné deux pouces sur les murs en enlevant tous le plâtre accumulé depuis toujours.

vendredi 7 novembre 2008

Cuisine - Jour 4

Plus de détails plus tard. En attendant: une photo.




Surtout des travaux d'implantation électrique hier... et on a coupé les deux par quatre dans l'ouverture.

Aujourd'hui, panneaux de gypse si j'ai bien compris.

mercredi 5 novembre 2008

Cuisine - Jour 3

Ça y est l'ouverture est créée. Je crois que cela va apporter beaucoup à l'appartement. Du moins, je l'espère.





Maintenant, des nouvelles des électros. Coup de téléphone pour obtenir les «specs» des électros achetés en août dernier.

Première surprise: Notre vendeur est parti ailleurs «relever de nouveaux défis» chez la concurrence... Il est parti, je vous le donne en mille, la veille! Ça devient une habitude. Où est la loyauté envers ses employeurs maintenant? Je me le demande. D'autant plus que ce «conseiller»(1) n'était pas une jeunesse.

M'enfin!

Deuxième surprise: Le démissionnaire n'avait pas tenu en compte le changement de ma commande. Un changement connu depuis septembre! C'est-à-dire que l'on changeait la hotte «normale» pour une hotte d'îlot.

J'apprends en discutant avec le directeur adjoint aux ventes que cette hotte n'est pas disponible normalement et que des délais de livraison s'ajoute... Va-t-on avoir la hotte à temps et même... aurons-nous cette même hotte. Ça commence à presser, car le trou est déjà percé dans l'entre-toit pour laisser passer le tuyau de sortie (voir l'album Picasa pour celles et ceux que ça intéresse)...

J'ai un message du directeur sur mon répondeur. La suite demain matin.

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Vous vous demandiez un peu comment on vivait sans cuisine. Un regard sur la deuxième photo vous donne un aperçu de notre salle à manger, version 5 novembre 2008. Frigo, étagères pour les denrées non périssables, un micro-ondes à côté de l'étagère... et le congélateur du frigo plein de repas préparés! C'est peut-être le temps de faire une pub pour Milliner situé au marché Jean-Talon.

Bientôt, une photo de la chambre de Romane. Vous verrez que l'univers d'une fille de 2 ans peut être bousculé un peu aussi. C'est peut-être pour ça qu'elle vient nous rejoindre vers 5h45 ces derniers matins...

P.-S.: Dois-je ajouter qu'il y a de la poussière de plâtre partout? J'ai l'impression qu'on va en avoir pour des années...

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(1)Pas besoin de m'expliquer l'utilisation du terme conseiller. Je dois avouer que cet homme avait été plus qu'un simple «vendeur de frigidaire». Grand bien lui fasse s'il a trouvé son bonheur ailleurs.

Cuisine - Jour 2

Les murs sont en mauvais état. Il faut arracher le plâtre et les lattes de bois et poser des panneaux de gypse neuf.

La bonne nouvelle: on repart la cuisine sur des bases totalement neuves.

La mauvaise: ça va coûter plus cher.

Prochains défis: comment faire passer le drain de la laveuse et le tuyau de gaz vers l'îlot.

Photo:

mardi 4 novembre 2008

Cuisine - Jour 1c

lundi 3 novembre 2008

Cuisine - Jour 1b

Entrepreneur sur les lieux à 10h44. Une heure plus tard, c'est déjà totalement autre chose.

Cuisine - Jour 1a

Ça commence mal. 10h00 sonnée et aucun signe de vie de l'entrepreneur. On verra s'il prend ses messages sur sa boite vocale.

Cuisine - Jour 0

Ça y est, c'est parti! Lorsque vous lirez ces lignes les ouvriers auront commencé les travaux dans ma cuisine, et ce, pour plus de trois semaines de travaux et de désagréments pour ma petite famille.

Assumons le côté nombriliste et égocentrique, on fait un blogue après tout. Je vous mets une photo par jour de l'allure de ma cuisine. Je prendrai trois prises de vue similaires chaque soir et une supplémentaire selon l'intérêt ou l'inspiration du moment.

J'en mets une ici sur ce blogue, l'ensemble sera accessible sur mon album Picasa. Vous verrez aussi dans un gadget à droite de la page Web, un diaporama des photos qui composeront l'album "cuisine". Un simple clic sur l'une des photos vous amène sur cet album. Vous ne pouvez vous trompez. Vous aurez alors des versions plus grandes des photos.

Alors, sans plus tarder, voici de quoi ma cuisine avait l'air dans la soirée du 2 novembre. La photo est prise à 00h45, le matin du 3 novembre, mais nous ne chipoterons pas pour si peu...



/ / / / /

J'allais clore là, mais je vais poursuivre un peu.

Rénover une cuisine, pour ceux et celles qui l'ignorent, ce n'est pas une partie de plaisir. C'est un déménagement, mais c'est sans doute pire qu'un déménagement.

Il faut vider une pièce, LA pièce bien souvent. Placer les électroménagers quelque part et, si possible, garder le strict minimum de fonctionnel: dans notre cas le frigo. Nous serons privé de tout le reste pour les trois prochaines semaines.

Inutile de dire qu'il y a des boites partout (centralisées dans l'hangar et notre chambre)... Laveuse, sécheuse et lave-vaisselle sont dans la chambre de la petite, inutilisables il va sans dire (les électros, pas la petite, hého!).

Il n'y a pas à dire, on amorce un moyen bordel! C'est mieux d'être beau et fonctionnel à la fin.

Bonne lecture à vous.

Dernier truc: Dans la catégorie "service après-vente qui rassure", mention spéciale à Éco-Dépôt céramique. Une employée a téléphoné aujourd'hui (dimanche) pour confirmer que les travaux commençaient sous peu afin d'être sûr d'avoir nos carreaux de céramique prêts pour le jour requis. C'est sans doute normal, mais c'est bon de voir que l'on compte un tant soit peu.