mardi 30 juin 2009

Impact insoupçonné de la chute du Mur

Dans le chemin du retour, le chauffeur de taxi me demandait combien de personnes avaient quitté mon emploi à la suite des mauvaises nouvelles annoncées il y a deux semaines.

Drôle de façon de m'aborder alors que six collègues, dont trois proches, venaient de conclure leur carrière la journée même en prenant une retraite hâtive. Je ne les plains pas, ils ont fait leur choix et personne ne les a forcé. C'est autrement moins sauvage que des licenciements.

Pour revenir à mon chauffeur de taxi, il a fait une réflexion qui reliait le déclin de la presse écrite à la chute du communisme. Ce qui m'inquiète, c'est que j'ai compris ce qu'il voulait dire dans le fil tordu de sa pensée. Ouille!